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D'autres témoignages
Un témoignage parmi tant d'autres (extrait de : www.geocities.com/TheTropics/6913/lariam.htm ):
" Lesley Gidding had returned from Africa unaware of the reason for her mental and emotional problems. She was still battling deep depression and anxiety attacks: "I described it as my really dark place and I didn't know how to get out. I was just, life was way too bad. I was thinking life is too much, I'd really like, you know, I'm not saying that I had suicidal tendencies but I thought about it (Lesley Gidding)."
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France | jeff | voilà précisément mon cas, de octobre 2000 à juin 2001 je travaillais en brousse centrafricaine je suis donc resté tout ce temps a prendre ma petite pilule de Lariam chaque samedi, ce traitement m'a couté non seulement les yeux de la tete, vous savez comme moi qu'il n'est pas remboursé et je travaillais en independant donc tout de ma poche, ça c'e n'est pas tres grave. biensur j'ai eu des boutons pas top, bon ça va jusqu'à là , mais de plus en plus s'installait un delire en moi et des idées obsesionnelles de meutres et suicides, j'etais déjà depressif et avec des tendances schizophrene avant mon depart donc je ne mets pas tout sur le médocs mais au bout de huit mois je suis rentré et mais symptômes se sont amplifié de maniere spectaculaire. maintenant ça fait 16ans que les idées suicidaires sont quasi permanente avec hallu visuelles et auditive, morcellement depression lourde? voilà mon quotidien! Je tiens à preciser que ni mon medecin de l'epoque ni le pharmacien ne m'ont mit en garde sur cette molecules. Et c'est seulement depuis l'affaire Stromae il y a un peu plus d'un mois que j'apprends les meffaits de ce medicament. a chier les médecins et les pharmaciens et les labos | France | Stéphane | J'ai perdu un ami, qui s'est suicidé il y a trois ans. Il avait fait un voyage humanitaire en Afrique auparavant.
Personne n'a pensé à ce fameux médicament. Mais après avoir lu les différents témoignages, je me demande s'il n'y a pas lien | Belgium | Yannick | Bonjour, J'ai également pris ce médicament pour un voyage en Afrique en été 2015. Et à mon retour, j'ai eu des effets secondaires terribles qui ont même conduit en partie à l'arrêt de mon travail. Comment puis-je contacter votre site pour plus d'informations? Cordialement.
Mon email: yannickkonzabi@yahoo.fr | France | pierre | En janvier 1990 pour d'un deplacement professionnel en guyane il m'a été prescrit du lariam. Une semaine aprés j'ai fait une crise de tétanie suivi de crises d'angoises, de palpitations et d'etourdissements. Direction l'hopital de cayenne, puis rapatriement en métrolpole. Il s'en est suivi de 6 mois d'arrêt maladie. J'ai était soigné pour dépression jusqu'à une consultation à l'hopital de la salpetriére ou là , on m'a appris, mais un peu tard, que tout mes ennuies de santé viennaient du LARIAM.
Les crises d'angoise on continuées pendant quelques années et aujourd'hui encore 28 ans plus tard, il m'arrive de temps en temps d'en ressentir encore les effets. | France | Marine | En 2004, mon père a mis fin à ses jours après une opération extérieur. Il était légionnaire et traité pour le paludisme avec le LARIAM. Forcément plus aucune traces à la suite de cela sachant que les médicaments n'étaient par donnés sur ordonnance... | France | Teresa | Vous pourrez lire sur ma page la chronologie dans le détail à l'adresse suivante, le plus incroyable dans cette histoire c'est que je ne suis pas la seule dans cette situation dû aux effets secondaires de ce médicaments.
Nous sommes plus de 40000 personnes en France sous APS.
https://www.facebook.com/retinopathie.toxique.APS/posts/2121585564735280 | Guadeloupe | martine | le lariam m'a été prescrit par mon medecin à dose curative et au bout d'une journée je me suis retrouvée, au travail, dans un état lamentable comme si j'étais ivre, sans avoir bu. puis ça a été une longue série d'insomnies, un état dépressif avec un dédoublement, je me voyais de l'extérieur et j'analysais la situation, j'étais capable d'en parler avec mon mari. J'ai contacté le laboratoire qui m'a annoncé que la demie vie du lariam était longue qu'il fallait être patient c'est tout. ça a été difficile pour mon mari au bout d'un certain temps ne voyant pas d'amélioration j'ai envisager mettre fin à mes jours, j'ai finalement tenu bon et je m'en suis sortie. c'est un vrai que de laisser ce produit en vente d'autant plus que c'est connu puisque les pilotes de lignes ont interdiction d'en prendre. | France | Julien | novembre 2017. Bonjour à toutes et à tous. J'ai lu quelques témoignages dont les symptômes sont similaires au miens. Je suis disponible pour échanger avec ces personnes (mail en fin de témoignage). En 2001, à l'âge de 13 ans, suite à un traitement Lariam en vue d’un voyage familial au Cameroun, j’ai déclenché des effets secondaires d'ordre psychologique difficilement descriptibles. C’est comme s’il y avait un dédoublement de personnalité, que mon corps et ma parole se mettaient en mode automatique et réagissaient par « réflexe » : il répondait à des questions, se déplaçait de lui-même, et j’étais une sorte de spectateur à cela. C'était effrayant. Après 15 jours de voyages à être dans cet état, nous sommes revenus en France. Pendant les 3 années qui ont suivies, je me suis à plusieurs reprises retrouvé dans cet état, de quelques heures à plusieurs jours, alors que je ne prenais bien sûr plus ce médicament. C’était une sensation très désagréable, qui m’effrayait, à la fois lorsque j’étais dans cet état, et à la fois lorsque je n’y étais pas car l’idée d’y entrer était très angoissante. Les seules chances de revenir à un état normal étaient au réveil, après une nuit de sommeil, ou après un film regardé à la TV. Je n’ai jamais extériorisé outre mesure cela, je ne me suis jamais fait soigné, mettant cela sur le compte du choc culturel. Depuis l’année 2004, je n’ai jamais ressenti ce « dédoublement », même si de temps en temps, je ressens des signaux préliminaires à cet état. Il me faut alors me concentrer fortement sur autre chose pour switcher et ne pas laisser ce mal me (re)gagner. jubajuba@laposte.net | France | Alain | Bonjour,
en ce qui me concerne, le Lariam j'y ai "gouté" en 2011 pour mon premier voyage en Éthiopie. Le centre de vaccination m'avait fait commencer le traitement bien avant le départ "pour que je puisse changer d'anti-palu en cas de réaction". Tout c'est bien passé avec, jusqu'au moment de l'arrêt. C'est en effet dix jours après la dernière prise que j'ai eu les effets secondaires: confusion mentale, problème d'élocution, perte temporaire de mémoire, particulièrement pour les noms et les dates.
Depuis, je suis passé à la Malarone, d'autant qu'elle est en générique maintenant. Je serais bien passé à la Doxycycline, mais mon toubib me l'a déconseillé du fait d'un passif de photosensibilisation avec un autre médicament.
Du fait de l'existence d'alternatives moins problématiques j'avoue que je ne comprends pas que ce médicament n'ait pas été retiré du marché. Dans son cas on est effet plutôt à 1 personne sur 100000 qui NE FAIT PAS d'effet secondaire. D'ailleurs je suis dans un milieu de voyageurs, et je n'en ai croisé qu'un seul jusqu'à présent qui n'ait pas eu de problème avec. | France | elisabeth | Bonjour
J'ai pris le Lariam il y a 25 ans pour un voyage au Burkina Faso, à mon retour de ce voyage, alors étudiante, j'ai perdu complètement le sommeil, et déclenché une dépression ( que mon médecin avait associé à un chagrin d'amour du à l'éloignement géographique de mon compagnon devenu mon mari).
Depuis j'ai eu plusieurs dépressions dites endogène car pas d'explication réelle! bref un calvaire que j'essaie d'apprivoiser grâce aux soutien de mes proches et des équipes médicales un peu désorientées. Mais la première est belle et bien liée à ce voyage et la prise de ce médicament! | 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 >>
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